Constantin BOGDANAS, violon
Florin SZIGETI, violon
(XVIIIe siècle français)
Vladimir MENDELSSOHN, alto
(Carolus Le Pot, Lille 1725)
Dorel FODOREANU, violoncelle
– Le Figarodécidément, le quatuor Enesco un très grand quatuor
Diapason d’Or
Grand Prix du Disque de l’Académie Française du Disque
Premier Grand Prix du Concours International de Musique de
Chambre Paris
Le QUATUOR ENESCO s’est constitué en 1978 ; souhaitant honorer la mémoire de l’illustre Georges ENESCO (1881-1955), ils donnent son nom au Quatuor. Leur rencontre avec les célèbres musiciens
Sandor Vegh, Norbert Brainin et Sergiu Celibidache fut de la plus haute importance : le QUATUOR ENESCO s’affirme sur le plan international dès le début de leurs études avec ces grands artistes avec
lesquels ils ont entretenu des relations privilégiées. Leur répertoire se distingue par un très grand nombre de quatuors, aussi bien que de nombreuses oeuvres allant du quintette à l’octuor, comprenant des pages classiques et romantiques des 18e et 19e siècles, ainsi que de la musique du 20e siècle, qui occupe une
place importante dans leurs programmes. Ils ont interprété un grand nombre d’oeuvres contemporaines pour quatuor à cordes composées par : Philippe Hersant, Serge Nigg, Henri Sauguet, Jean-Jacques Werner, Pierre–Max Dubois, Nicolas Bacri, Nicolas Philippot, Jesus Guridi, Xavier Montsalvatge, José Peris Lacasa, Carmelo Bernaola, Josep Soler et José Garcia Roman. Parmi eux, nombreux sont ceux qui ont écrit des oeuvres spécialement pour le Quatuor Enesco. Le Quatuor Enesco va fêter ses 40 ans d’activité artistique en 2019. Les deux dernières saisons, le Quatuor a joué au Palais Royal de Madrid plusieurs concerts avec le quatuor des instruments Stradivarius appartenant au Palacio Real, précieux instruments que le Quatuor Enesco joue régulièrement depuis 30 ans. A Paris, le Quatuor Enesco a interprété en création mondiale le premier quatuor du compositeur Fabrice Gregorutti ; cette création a été suivie en mars de l’enregistrement CD de l’oeuvre. Ensuite ils ont interprété en création mondiale le deuxième quatuor avec soprano, et le troisième quatuor du même compositeur. Après des concerts et masterclasses en France, ils ont joué plusieurs concerts dans deux tournées en Allemagne, ainsi que participé dans les festivals de Koblenz et
Osnabrück (Allemagne). En mai, « Kuhmo à Paris », puis au mois de juillet au Festival international de musique de chambre de Kuhmo, en Finlande, où ils reviennent pour la dixième année consécutive. A
cette occasion, rencontre avec le compositeur Krysztof Penderecki et interprétation de son deuxième quatuor à cordes, ainsi que le quintette avec piano de Magnus Lindberg, en présence du compositeur.
A l’automne, après des concerts au centre de la France et au Festival Franco-Russe à Paris, le Quatuor Enesco sera au Luxembourg, aux Pays-Bas (Concertgebow-Amsterdam), et en Belgique. Pour la saison
2017-2018-2019, des tournées et concerts sont prévus en France, Allemagne, Italie, Portugal, Finlande et Afrique du Sud.
Quatuor Varèse
François GALICHET, violon
Julie GEHAN RODRIGUEZ, violon
Sylvain SEAILLES, alto
Thomas RAVEZ, violoncelle
–(...) Le Quatuor de Ravel déchaîne l’enthousiasme. Les quatre musiciens rivalisent de subtilité et, avec un goût parfait, rendent magnifiquement ce kaléidoscopedoscope ravélien, oscillant entre tendresse et précision, fougue et narration (…)
Res Musica
Le Quatuor Varèse consacre ses talents au service du grand répertoire du quatuor à cordes. Ayant reçu l’héritage de grands maîtres de sa discipline et fort de son expérience de la scène, le Quatuor a acquis une véritable reconnaissance par-delà les frontières en se distinguant dans les plus grands concours internationaux de quatuor à cordes. En juin 2014, le Quatuor Varèse reçoit le 3ème Prix au Concours Paolo Borciani de Reggio Emilia ainsi que le Prix Spécial pour l’interprétation d’une oeuvre contemporaine, saluant sa prestation dans «Arcadiana» de Thomas Adès. En février 2014, le Quatuor obtient le 2ème Prix au Concours International Mozart de Salzbourg ainsi que le Prix Spécial récompensant la meilleure interprétation d’une oeuvre de W.A.Mozart. L’ensemble a également reçu de très nombreuses distinctions notamment en 2012, où il remporte brillamment le 1er Prix du concours de la Fondation Hans Schaeuble à Zurich, le 3ème Prix du concours Franz Schubert et la musique de la modernité à Graz (Autriche), et le Prix Jeunes Talents 2012 à Paris. On lui attribue le Grand Prix de l’Académie Ravel à Saint-Jean-de-Luz en 2011 ainsi que le Prix Spécial Quatuor à cordes au Concours Musiques d’Ensemble à Paris. En 2009, il obtient le 2ème Prix ADAMI au Concours International de Musique de Chambre de Lyon et le Prix Lions Rotary. Fondé en 2006 au Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Lyon, le Quatuor Varèse a reçu les conseils des quatuors Debussy, Ravel et Danel. Il poursuit ensuite son parcours auprès du Quatuor Ysaÿe et bénéficie grâce à Pro-Quartet-CEMC et NSKA d’un contact privilégié avec des musiciens de renom tels Heime Müller, Petr Prause, Stefan Metz, Rainer Schmidt et Natalia Prischepenko. Plus récemment, le Quatuor s’est perfectionné auprès de Miguel Da Silva à Genève. L’Instituto Internacional de Música de Cámara de Madrid lui octroie en 2013 une bourse pour suivre les master-classes de Günter Pichler, premier violon du Quatuor Alban Berg. Le Quatuor se produit sur de nombreuses scènes en France et à l’étranger : Staatsbibliothek, Berlin (Allemagne) ; Concertgebouw, Bruges (Belgique) ; Centro Cultural Caja España-Duero, León (Espagne) ; Théâtre National Algérien, Palais de la Culture, Alger (Algérie) ; Caliara Hall, Kilkenny (Irlande) ; Palazzeto Bru Zane, Venise (Italie) ; Tokyo, Iwaki (Japon) ; Vredenburg Leeuwenbergh, Utrecht(Pays-Bas) ; Palais Montcalm, Québec (Québec) ; Hôtel Soubise, Paris… Il est de plus régulièrement invité aux émissions de Stéphane Goldet, Frédéric Lodéon, Gaëlle Le Gallic, Jean-Pierre Derrien et Arnaud Laporte, diffusées sur Radio France et France Musique. Le Quatuor Varèse est soutenu par la Fondation Banque Populaire. La Faculté de Médecine de l’Université Lyon 1 accueille généreusement le Quatuor Varèse en résidence depuis l’été 2016. Le Quatuor bénéficie également du soutien de l’association Zilber qui lui prête un violon de Giuseppe Peluzzi et un alto de Giuseppe Guadagnini.
Amaury COEYTAUX, violon
Loic RIO, violon
Laurent MARFAING, alto
François KIEFFER, violoncelle
– Le MondeLe Quatuor Modigliani fait partie à l’évidence de la cour des grands.
Formé en 2003, le Quatuor Modigliani s’est acquis une place
parmi les quatuors les plus demandés de notre époque, invité
régulier des grandes séries internationales et salles prestigieuses
dans le monde entier.
Le quatuor se produit dans le monde entier
Lors des saisons à 2017/18, le quatuor effectuera des tournées
au Japon, en Corée, aux Etats-Unis avec un arrêt obligatoire
au Carnegie Hall, ainsi que de nombreux concerts à travers
l’Europe: entre autres au Wigmore Hall, à la Philharmonie de
Paris, au Konzerthaus de Vienne, au Mozarteum de Salzbourg,
à la Philharmonie de Varsovie, et à l’Elbphilharmonie de Hambourg
pour sa saison d’ouverture. La Saison 2015/16 aura vu
le Quatuor Modigliani se produire en Australie, et en résidence
au très bel Oji Hall de Tokyo, un temple de la musique de
chambre.
La direction artistique des Rencontres Musicales d’Evian
En 2011 le Quatuor Modigliani crée le festival de musique de
chambre de Saint-Paul de Vence et assure depuis 2014 la direction
artistique des légendaires Rencontres Musicales d’Evian
autrefois dirigées par Mstislav Rostropovitch. Depuis le festival
connaît un remarquable succès sous l’impulsion conjointe de
l’Evian Resort et du Quatuor Modigliani et est à nouveau l’un
des festivals majeurs en Europe.
Le quatuor Modigliani poursuit une riche et étroite collaboration
avec le label Mirare
En huit ans le Quatuor aura enregistré et sorti déjà sept
disques avec le label Mirare, tous très remarqués et loués par
la critique internationale.
Une ascension jalonnée de distinctions !
Un an seulement après leur formation, les Modigliani s’étaient
révélés à l’attention internationale en remportant successivement
trois Premiers Prix aux Concours Internationaux d’Eindhoven
(2004), Vittorio Rimbotti de Florence (2005) et aux prestigieuses
Young Concert Artists Auditions de New York (2006).
Après avoir reçu l’enseignement du Quatuor Ysaÿe, puis suivi
les master-classes de Walter Levin et de Gyorgy Kurtag à Pro-
Quartet, le Quatuor Modigliani est invité à travailler aux côtés
du Quatuor Artemis à la Berlin Universitat der Künste .
La communauté du Quatuor Modigliani
Le quatuor soigne particulièrement les rencontres de musique
de chambre, desquelles sont nées des amitiés fidèles comme
avec Sabine Meyer, Renaud Capuçon, Jean-Frédéric Neuburger,
Beatrice Rana, Michel Dalberto, Augustin Dumay,
Henri Demarquette, Gary Hoffman, Paul Meyer, Michel Portal,
Gérard Caussé, ou Daniel Müller-Schott…
Grâce au soutien de généreux mécènes, le quatuor Modigliani
a le privilège de jouer quatre magnifiques instruments italiens.
Maturité
Après presque quinze ans d’expérience, le quatuor se réjouit
de prendre de nouvelles responsabilités vis-à-vis des générations
suivantes: il crée en 2016 l’Atelier des Rencontres musicales
d’Evian et donne depuis 2017 une série de masterclasses
au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris.
Anton STECK, violon
Katja GRÜTTNER, violon
Christian GOOSSES, alto
Werner MATZKE, violoncelle
– Berliner MorgenpostDans les quatuors de Beethoven, le jeu des Schuppanzigh est éclairant
Les performances du Quatuor Schuppanzigh se caractérisent
par l’art de la différenciation, une volonté créatrice
positive, une immense gamme dynamique, des lignes
claires et un enthousiasme vif.
Le quatuor, qui joue sur des instruments d’époque, a
acquis une réputation internationale grâce à un programme
d’enregistrements actif et à la compilation de
programmes de concerts insolites et intelligents, résultat
d’un examen approfondi du contexte historique et d’une
profonde connaissance du esthétique historique de la
performance et du son.
Dans le domaine des pratiques de performance historiques,
le quatuor a établi des normes.
Le quatuor prend son nom du contemporain et ami de
Beethoven, Ignaz Schuppanzigh (1776-1830), cet excellent
violoniste qui a fondé en 1796 le premier quatuor
à cordes permanent de l’histoire de la musique. Ignaz
Schuppanzigh a eu une grande influence sur la production
des compositeurs de son temps et a contribué à l’établissement
d’une vie musicale bourgeoise au XIXe siècle.
Le «nouveau» Schuppanzigh Quartet – fondé exactement
200 ans après son histoire – donne une impulsion importante
à la vie de concert d’aujourd’hui. Les quatre musiciens
à cordes sensibilisent leurs auditoires à une période
extrêmement importante et fructueuse, dans laquelle le
genre du quatuor à cordes a été formé de manière décisive.
Ils s’intéressent aux nouveaux aspects des oeuvres de
Haydn, Mozart et Beethoven, ainsi qu’aux nouvelles découvertes
enrichissantes et passionnantes parmi les compositeurs
moins connus de l’époque.
Julien DIEUDEGARD, violon
Frédéric AURIER, violon
Julian BOUTIN, alto
Luc DEDREUIL, violoncelle
– Pierre Gervasoni, Le MondeChaque œuvre bénéficie d'une interprétation hallucinante de finesse…
Depuis 13 ans,”les enfants terribles du quatuor français”
écrivent un parcours singulier, entre tradition et modernité.
Attachés au répertoire ancien du quatuor à cordes,
qu’ils défendent au sein des programmations classiques
d’excellence en France et à l’étranger (Philharmonie de
Paris, Théâtre Mariinsky, BeethovenFest…), les musiciens
du quatuor Béla ont à coeur d’inscrire la tradition du
quatuor à cordes dans la vie musicale contemporaine.
Leur travail de commandes et de créations en lien avec des
compositeurs de différentes générations (Philippe LEROUX,
Francesco FILIDEI, Benjamin de la FUENTE, Jean-Pierre
DROUET, François SARHAN, Daniel D’ADAMO, Thierry
BLONDEAU, Jérôme COMBIER, Garth KNOX, Bruno DUCOL,
Karl NAEGELEN, Frédéric AURIER, Robert HP PLATZ,
Aurelio EDLER-COPES, Frédéric PATTAR …) a été couronné
en 2015 par le Prix de la Presse Musicale Internationale.
La conviction sincère, inspirée par la personnalité et
l’oeuvre de Béla Bartok, encourage le quatuor à imaginer
des rencontres avec des personnalités éclectiques, en
témoigne “Si oui, oui. Sinon non” avec le rockeur culte
Albert Marcoeur, “Impressions d’Afrique” avec l’immense
griot Moriba Koïta, “Jadayel” en compagnie des maîtres
palestiniens Ahmad Al Khatib et Youssef Hbeisch…
Le jeu du quatuor Béla, reconnu pour sa “technique diabolique”
(Télérama) et son engagement musical, se met volontiers,
ces dernières années, au service des compositeurs
d’Europe centrale du début du 20ème siècle comme Janacek,
Schulhoff, Krása, Bartok, Szymanovsky, Webern…
La discographie du quatuor Béla a été saluée par la critique
internationale (ffff Télérama, Luister 10 Award, Gramophone
Critic’s Choice Award, Prix Charles Cros, Diapason…).
Jordan VICTORIA, violon
Alexandre VU, violon
Tanguy PARISOT , alto
Samy RACHID , violoncelle
– DiapasonLe Quatuor Arod est un tout jeune ensemble, oui; mais il est déjà un grand ensemble, (…)
Créé en 2013, le Quatuor Arod remporte le Premier Prix
du Concours International de l’ARD de Munich en 2016. Il avait
déjà remporté le Premier Prix du concours Carl Nielsen de Copenhague
en 2015 et le Premier Prix du Concours européen de
la FNAPEC en 2014. En 2017, il est nommé « BBC New Generation
Artist » pour les saisons 2017 à 2019, et ECHO Rising Star
pour la saison 2018-2019.
En 2017 et 2018, le Quatuor Arod se produit notamment à l’Auditorium
du Louvre, au Théâtre des Bouffes du Nord et à la Philharmonie
de Paris, à l’Arsenal de Metz, à Bordeaux et à Montpellier,
à Bozar (Bruxelles), à Schloss Elmau, au Mozarteum de
Salzbourg, au Black Diamond de Copenhague, au Konzerthaus
de Vienne, au Concertgebouw d’Amsterdam, à la Tonhalle de
Zurich, au Wigmore Hall de Londres, à Tokyo, en Finlande, en
Suisse, en Italie ou encore en Serbie.
Le Quatuor Arod se produit aussi dans de nombreux festivals :
Verbier et Montreux (Suisse), Aix-en-Provence, Menton, Salonde-
Provence, Folle Journée de Nantes, Prades, Heidelberg,
Rheingau, Mecklenburg-Vorpommern, Bremen Musikfest, Mozartfest
Würzburg, Spring Music Festival de Prague…
Le Quatuor Arod collabore avec des artistes tels que les altistes
Amihai Grosz, Lise Berthaud et Mathieu Herzog, les pianistes
Eric Lesage et Alexandre Tharaud, les clarinettistes Martin Fröst,
Romain Guyot et Michel Lethiec ou encore les violoncellistes Raphaël
Pidoux, Harriet Krijgh, François Salque, Jérôme Pernoo et
Bruno Philippe. En 2017, il crée le premier quatuor à cordes du
compositeur français Benjamin Attahir (commande de La Belle
Saison, de ProQuartet et du Quatuor Arod).
Le Quatuor Arod enregistre pour le label Erato Warner Classics.
Son premier disque consacré à Mendelssohn sort à l’automne
2017.
Le Quatuor a bénéficié de l’enseignement de Mathieu Herzog
et de Jean Sulem ainsi que du Quatuor Artemis à la Chapelle
Reine Elisabeth de Bruxelles. Il a travaillé par ailleurs régulièrement
avec le Quatuor Ebène et le Quatuor Diotima.
Le Quatuor Arod est en résidence à la Fondation Singer-Polignac
et à ProQuartet – CEMC. Il est lauréat HSBC de l’Académie
du Festival d’Aix, et des Fondations Banque Populaire et Safran.
Il est soutenu par l’ADAMI et la région PACA. Mécénat Musical
Société Générale est le mécène principal du Quatuor Arod.
Il est habillé par « Blandin et Delloye – Paris ».
Emmanuel François s’est déjà produit dans une quinzaine de
pays d’Europe, ainsi qu’aux Etats-Unis, au Canada, en Australie,
au Japon, à Taïwan, à Hong-Kong, en Israël, en Equateur…
Il mène une intense carrière de concertiste, se produisant en
récital, en musique de chambre, en soliste ou au sein d’ensembles
renommés.
Il est l’altiste du Quatuor Van Kuijk, avec lequel il se produit
dans les plus prestigieuses salles (Philharmonie de Berlin, Wigmore
Hall, Concertgebouw d’Amsterdam, Tonhalle de Zürich,
Conzerthaus de Vienne, Théâtre des Champs-Elysées, Philharmonie
de Paris…).
Ancien soliste à l’orchestre de l’opéra de Marseille, il est invité
à collaborer en tant que soliste au sein de l’orchestre national
du Capitole de Toulouse, l’orchestre national de Montpellier,
l’orchestre de l’opéra national de Lyon, l’orchestre philharmonique
de Strasbourg, l’orchestre philharmonique de Monte-
Carlo, l’orchestre d’Auvergne, l’orchestre de l’opéra de Sydney,
l’orchestre de chambre du Luxembourg, l’Australian Chamber
Orchestra, l’Ensemble Intercontemporain…
Emmanuel François a étudié le violon auprès de Marie-Annick
Nicolas à la HEM de Genève et l’alto au CNSMD de Lyon,
auprès de Jean-Philippe Vasseur en Master et Françoise Gnéri
en 3ème cycle (Artist Diploma). Il a également eu l’occasion
de se perfectionner auprès d’Antoine Tamestit, Yuri Bashmet,
Tatjana Masurencko, Atar Arad et Thomas Riebl.
Il est par ailleurs lauréat des concours internationaux Wolfgang
Märschner (Allemagne) et Beethoven Hradec (Rép. Tchèque).
Titulaire du Certificat d’Aptitude, Emmanuel François enseigne
au Conservatoire de Bordeaux et au Pôle d’Enseignement
Supérieur Musique et Danse (PESMD) de Bordeaux Aquitaine.
Singulier pianiste que Wilhem Latchoumia : il sert la création
contemporaine et le grand répertoire avec autant de bonheur
et de charisme. Concevoir des programmes sortant des sentiers
battus, telle est la signature du musicien français, qui marque
les esprits par sa capacité à instaurer d’emblée une jubilatoire
connivence avec le public.
En France, Wilhem Latchoumia se produit régulièrement à Paris
(Auditorium de Radio France, Théâtre des Bouffes du Nord, Opéra
Comique, Cité de la Musique, CENTQUATRE, Auditorium du
Musée d’Orsay), au Théâtre d’Orléans, mais aussi au Capitole
de Toulouse, sur les scènes des opéras de Lyon, Saint-Etienne, Dijon,
ainsi qu’à la Fondation Royaumont. Il est l’invité de festivals
internationaux tels que le Printemps des Arts de Monte Carlo,
Piano aux Jacobins à Toulouse, La Roque d’Anthéron, Besançon
et Aix-en-Provence, etc
A l’étranger, le public entend Wilhem Latchoumia au Barbican
Centre de Londres, à la Salle Philharmonique de Liège, au BOZAR
Bruxelles et au Concertgebouw de Bruges, mais aussi à New
York (Institute For Contemporary Performance, Mannes College),
lors du Beijing Modern Music Festival et de l’Electronik Music
Week à Shanghai, de même qu’à Buenos Aires (Festival Encuentros),
en Martinique (festival Retour au pays natal), en Italie (festivals
de Gubbio et Traiettorie à Parme), San Sebastian (Quincena
musical), à Berlin et Witten. Ses tournées l’ont mené au Liban,
en Grèce, Turquie, Estonie, Lettonie, Biélorussie, Pologne, Chine,
Corée, en Amérique du Sud et aux Etats-Unis. Wilhem Latchoumia
se produit également en soliste avec l’Orchestre Philharmonique
de Radio France (Pascal Rophé, Joshua Dos Santos), l’Orchestre
National de Lille (Paul Polivnik, Benjamin Shwartz, Yann
Robin), l’Orchestre National des Pays de la Loire (concerto de
Grieg, 2017) et l’Orchestre National de Lyon (Peter Rundel) dans
le concerto d’Unsuk Chin, dont il avait assuré la création française
avec l’Orchestre National de Lille (Jean Deroyer). Il a interprété
la Burlesque de Strauss avec l’Orchestre National d’Ile-de-
France (Ainars Rubikis) et Des Canyons aux étoiles de Messiaen
avec l’Orchestre de Chambre Nouvelle Aquitaine (Jean-François
Heisser). Il a joué sous la direction de Gilbert Amy, Peter Csaba,
Fabrice Pierre, avec l’Orchestre Symphonique de Rostow (Andrei
Galanov), les orchestres philharmoniques de Liège (Christian
Arming), Séoul et de Daejean, ainsi qu’avec l’orchestre du Teatro
Colón. Il collabore avec le Tokyo Sinfonietta (Yasuaki Itakura),
l’Ensemble Orchestral Contemporain (Daniel Kawka), les ensembles
Ictus, 2e2m, Accroche Note et Linea, l’altiste Christophe
Desjardins, les avec autant de bonheur et de charisme quatuors
Diotima et Tana, les pianistes Marie Vermeulin, Vanessa Wagner
et Cédric Tiberghien…
Le goût de Wilhem Latchoumia pour la création contemporaine
lui vaut les faveurs de compositeurs tels que Pierre Boulez, Gilbert
Amy, Gérard Pesson, Philippe Hersant, Michael Jarrell, Jonathan
Harvey, Pierre Jodlowski, Karl Naegelen, Francesco Filidei,
José Manuel Lopez-Lopez, Samuel Sighicelli, Oscar Bianchi,
Franck Bedrossian… Il est l’instigateur et l’interprète de créations
en référence à Daughters of the lonesome Isle de John Cage. Il
aime également prendre part à des projets chorégraphiques, le
prochain étant une production de Rosas (Achterland), la compagnie
d’Anne Teresa de Keersmaeker
L’enregistrement «Extase Maxima» (2014) inaugure sa collaboration
avec le label La Dolce Volta. Consacré à Wagner et ses
transcripteurs, il a été réalisé à la faveur d’une grande tournée
soutenue par le Palazzetto Bru Zane. Récompensé par un Choc
de «Classica» et un Maestro de «Pianiste», il faisait suite à deux
opus particulièrement salués par la critique : «Piano & electronic
sounds» (Sisyphe), récompensé par un Choc du «Monde de la
Musique», et «Impressoes» (Sony BMG/RCA), consacré à Villa-
Lobos, Ginastera et alii, auquel ont été décernés un Choc du
«Monde de la Musique», un Diapason d’or et le titre de «meilleur
enregistrement» par la revue «Audio Clásica». En 2016 est paru
chez naïve un enregistrement consacré au compositeur Miroslav
Srnka, qui l’associe au Quatuor Diotima. Le dernier opus solo
de Wilhem Latchoumia, un portrait du compositeur Manuel de
Falla (La Dolce Volta, 2016), a reçu 5 Diapasons, un Maestro
du magazine Pianiste, un Joker de Crescendo, ainsi que les FFFF
de Télérama.Sortie prévue de son dernier opus « Cinderella » (
Prokofiev & Cowell) chez la Dolce Volta en février 2019
Wilhem Latchoumia a obtenu au Conservatoire National de
Musique et de Danse de Lyon (classes d’Eric Heidsieck et Géry
Moutier) son Premier Prix à l’unanimité, avec les félicitations du
jury. Il a terminé sa formation avec Géry Moutier en classe de
perfectionnement. Elève de Claude Helffer, il a également suivi
les masterclasses d’Yvonne Loriod-Messiaen et Pierre-Laurent
Aimard. Il est titulaire d’une licence en musicologie. Lauréat de
la Fondation Hewlett-Packard et du 12e Concours International
de Musique Contemporaine Montsalvatge (Girona, Espagne), il
a brillamment remporté le Premier Prix Mention Spéciale Blanche
Selva ainsi que cinq autres prix du Concours International de
Piano d’Orléans 2006.
Tout au long de son parcours, avec ses choix et ses démarches, Stéphanos Thomopoulos devient un véritable expérimentateur du piano. À coté de son attachement au grand répertoire et à ses compositeurs de prédilection tels Liszt, Rachmaninoff ou Ravel – pour n’en citer que quelques uns – il n’hésite pas à s’embarquer dans toute aventure artistique suscpetible de satisfaire et mener plus loin encore, sa quête du nouveau : Répertoires originaux, musique contemporaine, recherche universitaire, théâtre, arts plastiques, projets pédagogiques, improvisation, cinéma, toute rencontre capable de donner naissance à des expériences hybrides l’intéresse. La formation de Stéphanos Thomopoulos elle-même, est marquée par cette recherche de la diversité. Après avoir étudié au Conservatoire national de Thessalonique en Grèce et à la Musikhochschule de Cologne en Allemagne dans la classe de Arbo Valdma, Stéphanos Thomopoulos travaille aux côtés de Jacques Rouvier et Marie-Françoise Bucquet au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, et de Hakon Austbo au Conservatoire d’Amsterdam. Il bénéficie également des conseils de personnalités telles que Dimitri Bashkirov, John O’Conor et Leon Fleischer, et se perfectionne pendant deux ans auprès d’Aldo Ciccolini, dont l’enseignement l’influence profondément. Lauréat de concours internationaux (Holland Music Sessions, Maria Canals, Hellexpo, Jugend Musiziert) et sélectionné par les fondations Blüthner, Yamaha, Kempff, Stephanos Thomopoulos se produit en Europe, en Chine, aux Etats Unis, au Brésil, au Japon, en Turquie, en Egypte, en Ukraine, et dans des lieux prestigieux comme la Cité de la Musique, l’Ircam, la salle Gaveau ou le Musée d’Orsay à Paris, le Concertgebouw d’Amsterdam, l’opéra Garnier de Monaco, l’Alti Hall de Kyoto, ou encore le Mégaron d’Athènes, le Théâtre Antique d’Epidaure et la salle Cecilia Mireiles à Rio de Janeiro. Il est régulièrement invité à jouer avec les orchestres nationaux de Belgrade, Odessa, Chypre, l’Orchestre de Chambre Néerlandais, l’Orchestre de l’Opéra du Caire et tous les grands orchestres grecs, sous la baguette de chefs comme Pascal Rophé, Philippe Auguin, Vassilis Christopoulos. Il se produit dans des festivals comme Printemps des Arts de Monaco, le Festival d’Athènes et Epidaure, les Rencontres Musicales de Santander, The new Masters on tour series à Amsterdam, le Festival Dimitria à Thessalonique… En France, on a pu l’entendre aux Festival Royaumont, Festival Chopin à Nohant, au Festival Manca, aux Dominicains de Haute Alsace, au Piano à Auxerre, Festival Georges Bizet à Bougival…
Parmi ses partenaires de prédilection en musique de chambre, on peut citer le Quatuor Arditti, Patrice Fontanarosa, Loïc Schneider, Michel Lethiec ou Shani Diluka. Il se produit également avec l’ensemble Kyklos et le Projet Bloom. Stéphanos Thomopoulos a enregistré des oeuvres d’Alexander Scriabin pour le Mécénat Musical Société Générale, et des oeuvres de Manos Hadjidakis pour la fondation italienne CIMA. L’enregistrement live « Une soirée à Leipzig » est paru en avril 2012 dans la collection « Mediencampus ». En 2015 est paru en première mondiale l’intégrale des oeuvres pour piano seul de Iannis Xenakis (Timpani Records). Son dernier disque est sorti également en 2015, avec le flûtiste Loïc Schneider dans un répertoire de grands classiques allemands pour flûte et piano (Chant de Linos). Son goût pour les projets expérimentaux et sa curiosité de toutes les formes d’expression artistique l’ont amené à s’impliquer dans des projets insolites, avec Lukas Hemleb dans l’adaptation scénique de la Marquise d’O de Kleist, dans l’ensemble Piandemonium (12 pianistes sur 6 pianos), où encore au centre des performances sur les pianos modifiés conçus par Tal Isaac Hadad dans le cadre de la FIAC 2011 et 2012 au Grand Palais à Paris. Stéphanos Thomopoulos est le premier pianiste en France à avoir réalisé un Doctorat d’Interprète au CNSM Paris sous la direction de Gérard Pesson, où il a travaillé sur l’oeuvre de Iannis Xenakis , thèse qui a été soutenue en décembre 2013. Ce travail de recherche l’amène à donner des concerts et à participer à des conférences autour de Xenakis à Montréal, New York, Paris, Tourcoing, Londres, Belgrade, Leipzig et Athènes, ainsi qu’à participer à l’ouvrage collectif « Performing Xenakis » (Pendragon Press), aux cotés de personnalités telles que Milan Kundera, Michel Tabachnik et Irvine Arditti. En 2010, Stéphanos Thomopoulos est nommé professeur et coordinateur du département de piano au Conservatoire à Rayonnement Régional de Nice. Par ailleurs, il est invité à donner des masterclasses dans le cadre du Printemps des Arts à Monaco, l’Académie Musicalta en France, le Music Village en Grèce, le concours Boya en Chine.
Premier prix de violoncelle du Conservatoire national supérieur de musique de Paris, Frédéric Audibert fait ses débuts à 17 ans dans la grande salle de l’UNESCO à Paris. Il remporte les concours internationaux Turin et Rovere d’Oro en Italie et se distingue en finale et demi- finale à Palma d’Oro, Florence, Trapani et San Sebastian. En 1992, Lord Yehudi Menuhin le nomme lauréat de son association «Live Music Now France» et l’encourage à poursuivre une carrière de soliste. Il joue depuis les grands concertos avec orchestre : Haydn, Boccherini, Beethoven, Martinù, K.PE. Bach, Saint-Saëns, Bruch, Brahms, Tchaïkovski, Chostakovitch, Lalo, Dvorak, Honegger, Landowski, Tortelier, Abbiate… Soliste de la Fondation Sophia-Antipolis, il donne des concerts et masterclasses en France (Gaveau, Palais des Festivals de Cannes, Abbaye de Fontfroide, Opéra de Nice, Flâneries musicales de Reims…) et dans les principaux pays Européens. Il donne aussi des masterclasses au Japon, à l’université d’Ottawa au Québec, école Rostropovitch de Moscou, à l’université de Taïnan et de Taïpei (Taïwan), en Israël, au Canada, en Afrique, en Polynésie, en Turquie. En 2017, il se rendra à Tokyo et à l’université de Penn State en Pennsylvanie (USA). Violoncelle solo de la Chambre Philharmonique-Emmanuel Krivine et du Dresden Festpielen Orchestra, il se produit dans les plus grandes salles Européennes : Pleyel, Philharmonie Paris, Alt Oper Frankfurt, Concertgebouw Bruges, Istanbul Hall, Beethoven Hall Bonn, Victoria Hall Genève, Cadogan Hall Londres, Semper Oper Dresde, Philharmonie Berlin, Regent Theater Munich, Philharmonie Hambourg et enregistre les grandes symphonies du répertoire pour Naïve et Sony Classical. Frédéric Audibert est l’un des très rares violoncellistes à maîtriser toutes les esthétiques, de la musique baroque à la musique contemporaine. Il a approfondi ces divers répertoires dès sa sortie du CNSM de Paris en cherchant à rapprocher l’instrumentarium (huit archets d’époques différentes) de la justesse stylistique pour chaque littérature. Il joue sur cordes en boyaux (Violoncelle Cordano Genova 1774) les concertos de Vivaldi, Porpora, Boccherini , KP.E Bach, L. Léo notamment au Grand Théâtre Royal de Naples. Il joue aussi le violoncelle de Maud Tortelier un Alessandro Gagliano Napoli de 1720 avec un montage classique. Dans le domaine contemporain, il collabore avec de nombreux compositeurs : Bacri, Mulsant, Gastinel, Matalon, Bérenger, Tanaka, Nagata, Einbond, Essyad….et joue Kottos de Xenakis au Printemps des Arts de Monte Carlo. Les mots sont allés de Lucciano Berio au Festival Présence de Radio France. Le concerto de Marcel Landowski pour son 80ème anniversaire. Frédéric Audibert a enregistré une trentaine de CD pour les maisons de disque Quantum (Euravent), Gazelle, K617, Naïve, Acte Préalable, Sony Classical, Verany…. Depuis 1998, il enseigne le violoncelle au sein de l’Académie Prince Rainier III de Monaco et au CRR de Nice (DEM-Licence). Et à l’Académie internationale d’Eté de Nice.
En 2017, il intègre le nouvel Institut d’Enseignement Supérieur de la Musique-Cursus DNSM d’Aix-en-Provence (IESM-Pôle supérieur).
Nommé Chevalier du Mérite Culturel par SAS le prince Albert II de Monaco, il est aujourd’hui directeur artistique du festival Quatuors en Pays de Fayence et du festival de violoncelle Cello Fan.