À lui seul un instrument peut en dire bien plus que tout un orchestre. Armé de l’âme de Gary Hoffman, le violoncelle devient alors un incontestable roi de coeur.
Gary Hoffman mérite à juste titre sa réputation d’être l’un des meilleurs violoncellistes de sa génération.
La plénitude de la sonorité, une technique parfaite, une sensibilité artistique exceptionnelle caractérisent le style de Garembre d’une famille de nombreux musiciens originaires de Vancouver, Gardébuts au Wigmore Hall de Londres dès l’âge de 15 ans. New York l’accueillit ensuite, tandis qu’à l’âge de 22 ans il devenait, en 1979, le plus jeune professeur de la célèbre éco-le de musique de l’Université d’Indiana où il resta huit ans. Il continue toujours d’enseigner dans les plus gran-des académies et festivals (Aspen, Gregor Piatigorsky Seminar/California, Académie Sibélius à Helsinki, … )Le Premier Grand Prix Rostropovich qu’il obtient à Paris en 1986 lui ouvre les voies d’une carrière internationale qui le conduit à se produire avec les plus grandes for-mations: Chicago, London Symphony et English Cham-ber Orchestra, Montréal, Toronto, Baltimore, Los Ange-les Chamber Orchestra, National Symphony Orchestra, Orchestre Philharmonique de Radio-France … sous la direction d’André Prévin, Herbert Blomstedt, James Le-vine, Andrew Davis, Mstislav Rostropovich, Charles Du-toit, Kent Nagano, Jésus Lopez-Cobos … Garest également un récitaliste cmé, invité dans les plus grandes salles: Alice Tully Hall à New York, Suntory Hall à Tokyo, Ambassador Auditorium à Pasadena (Californie), Teatro Pergola à Florence, Tivoli à Copenhague, Gul-benkian à Lisbonne, St-Lawrence Center à Toronto, Mc Gill University à Montréal, au Théâtre des Champs-Ély-sées, à la Beethovenhaus de Bonn (intégrale des Sonates piano/violoncelle de Beethoven), Théâtre du Châtelet …Garéateur de nombreux concer-tos (Petitgirarda-gneux, 2000, Shohat, 2001, Finzi, 2002, avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France).Il est depuis 2011, professeur à la Chapelle Mu-sicale Reine Elisabeth de Belgique à Bruxelles. Installé depuis 1990 à Paris, GarNicolo Amati de 1662 ayant appartenu à Léonard Rose.