– LibérationUn quatuor français éclectique et novateur
En quelques années seulement, ce quatuor s’est imposé sur les scènes du monde entier, aux côtés d’artistes comme Yuri Bashmet ou David Kadouch. Les Voce, qui donnent dé-sormais 80 concerts par an, notamment au Japon, s’atta-chent avec bonheur à rendre la musique de chambre acces-sible. Des ciné-concerts à l’accompagnement du chanteur Matthieu Chedid, le quatuor a plusieurs cordes à son arc.En quelques années seulement, le Quatuor Voce remporte de nombreux prix dans les concours internationaux à Ge-nève, Crémone, Vienne, Bordeaux, Graz, Londres et Reggio Emilia. Il s’impose sur les scènes du monde entier,en qua-tuor et aux côtés d’artistes comme Yuri Bashmet, Nobuko Imai, Garertrand Chamayou, David Kadouch… Juliane Banse… À l’initiative de la Cité de la musique à Pa-ris, le Quatuor est nommé Rising Star pour la saison 2013-2014 par l’European Chamber Hall Organisation (ECHO).Depuis ses débuts en 2004, le Quatuor Voce s’attache à défen-dre le grand répertoire du quatuor à cordes,une ambition pour laquelle il sollicite les conseils de ses aînés (Quatuor Ysaye, Gün-ter Pichler, Eberhard Feltz). Son premier disque, consacré à Schu-bert, se voit recommandé par le magazine The Strad et obtient ƒƒƒƒ de Télérama. Ouverts au monde qui les entoure, les Voce créent régulièrement la musique de compositeurs d’aujourd’hui – Nicolas Bacri, Gianvicenzo Cresta, Graciane Finzi, Alexandros Markéas, Bruno Mantovani, Zad Moultaka, Christophe Looten…Leur curiosité les amène à expérimentérentes formes de spectacle : ils prêtent leur voix à des chefs-d’œuvre du cinéma muet, de Murnau à Keaton, et partagent leur uni-vers avec des personnalités aussi variées que le musicolo-gue Bernard Fournier, le chanteur et guitariste M, la chan-teuse canadienne Kyrie Kristmanson ou le chorégraphe Thomas Lt à cœur de transmettre leur ex-périence en enseignant à de plus jeunes quatuors ou en en-courageant la pratique amateur dans le cadre de stages.Le Quatuor Vocéation de nom-breux soutiens,parmi lesquels ProQuartet CEMC, le Théâ-tre de la Cité internationale, la Fondation Banque Populaire, l’Académie musicale de Villecroze, l’Institut Albéniz, la Fon-dation Charles Oulmont. Sarah Dayan joue un violon de Stefano Scarampella (1888), Cécile Roubin un violon de Francis Kuttner (2010), Guillaume Becker un alto d’Ayme-ric Guillard (2005) et Lydia Shelley un violoncelle de (1987).